Picoti, picota lève la queue et saute en bas
Des poules, le poulailler, le jardin de Stephenson Garden
Une histoire de poules… suite
Souvenez-vous de notre blog du mois de mars 2019 !
Nous vous informions à l’époque de la disparition de la quasi-totalité de nos poules nous laissant tristes et consternés.
L’enquête fut menée avec détermination mais hélas sans résultats probants et nous laissant les bras ballants.
Nous vous avions dès lors promis de repeupler rapidement notre basse-cour et de redynamiser ce coin de jardin de notre maison de repos si vivant et attractif.
Mais c’était sans compter sur l’apparition de ce terrible virus et de son lot de problèmes et d’inquiétudes.
Sauf que sans ses poules, le jardin de la maison de repos Stephenson « Garden » n’avait plus la même saveur pardi !
Et que nous aimons aussi honorer nos promesses:
- Patience et longueur de temps
- Font plus que force ni que rage
Voilà donc la bonne nouvelle : notre poulailler revit enfin et peut s’enorgueillir dès aujourd’hui d’héberger à nouveau de magnifiques petits spécimens à deux pattes.
La poule Leghorn et la poule de Padoue
Voyez plutôt :
Lors de votre balade au jardin vous pourrez découvrir ces deux espèces bien différentes qui raviront petits et grands :
- La drôle de poule de Padoue
Cette poulette a une nature amicale et amusante.
Elle porte sur la tête une crête arrondie très typique, souvent dans les tons brun ou noir.
Elle n’est pas une grande couveuse. Elle pond en moyenne 100 œufs par an mais elle est très rigolote.
- La poule de Livourne, Leghorn, ou gallus gallus domesticus
Cette poule est toute blanche et porte une crête bien rouge.
Elle est plus nerveuse et plus difficile à apprivoiser.
Son poids est de 2750 grammes.
Contrairement à la poule de Padoue, c’est une excellente pondeuse qui peut produire jusqu’à 270 œufs par an pour notre plus grand plaisir gustatif ….
Je m’en voudrais de passer sous silence que, pour héberger tout ce petit monde et assurer sa sécurité, notre jardinier-coach a mis les bouchées doubles pour agrandir et améliorer de manière sensible son habitat, de quoi lui donner un plus grand espace de liberté et lui permettre de glousser et de picorer dans un environnement plus adapté à ses besoins. Merci Micki !
Le poulailler et le jardin thérapeutique Stephenson Garden
Pour terminer, j’ajouterais que notre poulailler est un des éléments importants dans le développement et la réalisation de notre jardin thérapeutique sensoriel intégré à la Maison de Repos.
Il y trouve tout son sens.
Un conseil : Profitez sans avarice de ce beau lieu « nature » et de ceux et celles qui en jouissent avec vous.
A très bientôt et prenez bien soin de vous
JA
